Par le reflet de son environnement dans ce qui pourrait être qualifié de fiction, l’œuvre est à la fois un fragment du monde qui l’entoure et en dehors de ce monde. Suivant où je la place, cette « fausse nature » vient converser avec la « réalité » inversée dans le miroir qui lui sert de support. Le miroir entre ainsi en résonance avec ce qui l’entoure, et ce qui l’entoure s’intègre à l’œuvre.